Retour en 2020
Un nouveau phénomène est apparu sur la plateforme Netflix “Alice Borderland”. Le principe de la série est simple, on suit les aventures d’Arisu, un jeune tokyoïte accro aux jeux vidéo, dont la passion n’est clairement pas bien perçus aux yeux de sa famille mais les liens sont complexes. Heureusement, il peut compter sur ses deux meilleurs amis “Karube” et “Chota” avec qui il passe tout son temps lorsqu’il n’est pas plongé dans ses jeux. Cependant, un événement conduira notre trio dans un Tokyo étrange et complètement désert. Dans ce monde, Arisu et ses amis vont devoir participer à des jeux dangereux pour survivre. Ils obtiennent des jours sur un visa à chaque fois qu’ils gagnent un jeu.
Et cette saison 2 ?
2 ans se sont écoulés entre les deux saisons la nostalgie de retrouver Arisu est toujours très présente dès les premières minutes, vous retrouverez notre personnage principal toujours tendu. (Qui ne le serez pas à sa place). Rappelons qu’à la fin de la première saison, les cartes mises en jeu sont les figures ! Cela ne plaisante vraiment plus ! Et Arisu est toujours accompagné d’Usagi ainsi que Kiuna et Chishiya (le duo qui a fait l’unanimité sur la toile). Le nouveau groupe sera rapidement séparé et ce qui nous permettra de suivre les aventures des uns et des autres. Et de découvrir vraiment le côté ingénieux et malsain des jeux mis en place.
Survivalisme
Après que “La Plage” ait terminée dans les flammes, les survivants sont tous partis de leurs côtés. Il faut de nouveau se nourrir, trouver des endroits où se reposer, etc… Dans cette S2 d’Alice in Borderland, on ne retrouve pas d’endroits douillets ou encore de soirées festives. Arisu et les autres doivent reprendre les jeux sauf que cette fois, les arènes sont plus larges. Il s’agit de la ville de Tokyo ! Afin d’indiquer les lieux où gagner les cartes, les dirigeables de la fin de la première saison sont positionnés au-dessus des lieux. Sauf qu’une carte n’est jamais au même endroit, le vice est poussé au maximum. Les 8 épisodes qui constituent cette saison poussent l’humain dans ses retranchements, allant même à jouer sur le côté affect. Allant même à pousser la réflexion de certains antagonistes sur la vie humaine.
Personne n’est à l’abris
S’il y a bien une chose que cette série nous aura appris, c’est que n’importe qui peut mourir. On voit nos personnages dans des positions délicates et je n’étais pas sereine pour eux. Il n’y a pas de pitié dans ce monde et des alliances surprenantes se formeront ! Et si dans la première saison vous avez été choqués par l’épisode 3, alors qu’est ce que cela va être avec celle-ci. Et niveau façon de mourir, il y a du choix, parfois même un peu salement (personnellement je suis habituée à regarder des films avec du sang et autres donc cela ne me dérange pas).