Spectator 2 est la suite du précédent opus du même nom. Sorti en 2023 par le studio Neko Machine, celui-ci consistait à trouver différentes anomalies à travers des caméras de sécurité. Nous reprenons donc le même principe avec de nouvelles zones, un mode coopération disponible et toujours autant d’angoisse !
À noter que le jeu est à l’heure actuelle, toujours en accès anticipé mais cela n’empêche en rien de vous creuser les méninges !
À la recherche d’indices
Si vous cherchez un jeu simple mais qui saura vous occuper durant un temps, vous êtes au bon endroit ! Comme dit plus haut Spectator 2 reprend le même principe que le précédent jeu. Si vous n’avez pas eu l’occasion de tenter l’expérience, pas de panique cela ne changera strictement rien.
À travers des caméras de sécurité, vous devez trouvez différentes anomalies. Le pourquoi du comment n’est pas expliqué. Mais considérez cela comme le fait d’être un chasseur de paranormal car des choses bizarres, vous allez en voir. D’ailleurs, les anomalies, c’est quoi ?
Les anomalies sont comme son nom l’indique une exception à la règle. C’est à dire que l’objet ou la modification en question n’a pas lieu d’être. Elles sont réparties en plusieurs catégories :
- Images. Cela concerne notamment les tableaux.
- Électrique. Si vous voyez une lumière qui clignote, c’est ici que cela se passe !
- Violent. Toutes traces de violence, comme des traces de sang.
- Inconnu. Comme son nom l’indique… À vous de le découvrir !
- Disparu. Un objet à disparu, mais lequel ?
- Remplacement. L’objet en question a été remplacé.
- Objet fantôme. Un nouvel objet a fait son apparition sur l’écran.
- Mouvement. Examinez bien les lieux, un objet est en mouvement.
C’est donc sur différentes zones (6 au total) que vous allez devoir débusquer les nombreuses anomalies qui s’y trouvent. Chaque niveau comporte pas moins de 6 pièces, il vous faudra donc jongler entre les caméras afin de toutes les trouver.
Difficulté
Contrairement à ce que l’on pense, le jeu s’annonce particulièrement difficile, même dans sa difficulté standard. 3 modes sont disponibles, nous retrouvons la difficulté normale, difficile et cauchemar.
Qu’est-ce qui change ? Les anomalies seront beaucoup plus difficiles à détecter et comme dis précédemment, le mode normal est plutôt coriace. Imaginez donc le jeu à son maximum…
Ce qui pose notamment problème c’est de définir la bonne catégories pour l’anomalie. Si celle-ci n’est pas la bonne, vous perdez une grande partie de votre temps. Réfléchissez donc bien avant de sélectionner la catégorie. Pour ma part, je me suis faite avoir plus d’une fois, notamment entre objet fantôme.
Mais la plus grande difficulté est de vous souvenir l’emplacement exact des objets ! Certaines anomalies seront plus que évidentes tandis que d’autres seront tellement minimes qu’il vous faudra plusieurs minutes avant de la démasquer, par exemple, une écriture sur un gobelet.
Heureusement pour vous, en cas d’erreur, il sera possible de réitérer l’opération si vous ne choisissez pas la bonne catégorie.
L’ambiance
Voilà un point qui a le mérite d’être souligné ! Spectator 2 est un jeu particulièrement immersif. Afin de profiter au maximum de l’expérience, il est rudement conseillé de jouer avec un casque, notamment si vous souhaitez débusquer les anomalies rapidement.
Effectivement, le fond sonore est très important. En plus d’un signal disponible sur l’écran, des bruits sonores seront également d’une grande aide pour valider un maximum d’anomalies. Tendez donc l’oreille au risque d’être surpris à certains moments.
Graphiquement, Spectator n’est pas mauvais mais il pourrait très certainement être amélioré. On apprécie également les références présentes dont une qui parlera très certainement aux enfants des années 2000.
