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TEST GAMING

Home Sweet Home

DATE DE SORTIE
27/09/2017
TEST RÉALISÉ SUR
Xbox Series
ÉDITEUR
Yggdrazil GROUPE CO – LTD
DÉVELOPPEUR
Yggdrazil GROUPE CO – LTD
CLASSIFICATION
PEGI 16
GENRE(S)
Aventure
PLATEFORME(S)
PC, PlayStation 4, Xbox One
COMPATIBILITÉ STEAM DECK
Compatible
MODE(S)
Solo

Envie de changement ? Et si nous nous lancions dans une aventure Made in Thaïlande ? Partons ensemble à la découverte de Home Sweet Home qui est basé sur les mythes et les croyances Thaïlandaises.

A l’heure d’aujourd’hui, seuls les joueurs PC peuvent profiter pleinement du deuxième chapitre au prix de 19,99 euros (steam). Pleinement ? Pas tout à fait. Il faudra pour ça posséder une bonne maîtrise de l’anglais puisque le jeu ne dispose pas encore de traduction. Espérons qu’une traduction arrive prochainement, mais surtout, une date pour les joueurs consoles qui commencent sérieusement à mourir d’impatience. 

DESTINATION LA THAÏLANDE

Dans Home Sweet Home vous incarnez Tim, un homme dont on ne connait pas grand chose si ce n’est qu’il est à la recherche de sa femme disparue, Jane. Pour pimenter un peu la tâche, notre protagoniste se réveille dans un bâtiment inconnu et qui, aux premières impressions semble inhabité… De quoi laisser le joueur se promener tranquillement sans le moindre danger.

Sérieusement ? Vous pensiez réellement à un tel scénario ?  Il est vrai que le nom du jeu (“la douceur du foyer“) laisse croire à un accueil chaleureux, mais l’aventure qui s’annonce est bien loin d’être une simple balade de santé.
A défaut d’être accueilli par une bouteille de champagne, c’est une femme mystérieuse, armée d’un cutter qui compte bien recevoir notre cher Tim et, croyez le ou non, l’hôtesse de la maison compte bien utiliser la lame de son cutter. Surprenant non ? Le cliché de l’horreur, simple et efficace.

HEEEEERE’S JOHNNY !

Maintenant que le décor est planté, passons au système de gameplay qui encore une fois, ne fait pas preuve de beaucoup d’innovation. 

Un peu à la Outlast  (vous pouvez retrouver notre article ici) vous n’aurez aucun moyen de défense. Pourtant, il vous arrivera de trouver quelques objets utiles sur votre passage (comme un pied de biche par exemple). Cependant, notre protagoniste ne semble pas comprendre que cette arme lui serait bien utile pour se défendre face à son adversaire… Alors on repose ce pied de biche l’air de rien et on poursuit la quête. Un peu bête quand on y pense, mais ce système de gameplay ajoute un véritable charme au jeu et pimente davantage votre quête pour retrouver votre femme. 

C’est donc simplement équipé d’une lampe torche que Tim arpente les couloirs à la recherche de sa femme. Point plutôt positif : cette lampe n’a pas besoin d’être rechargée et ça, c’est clairement un problème en moins ! Parce que rechercher une pile lorsque vous êtes poursuivi par une folle furieuse, c’est tout de suite plus compliqué. Sachez également que le jeu se joue à la première personne.

JE T’ENTEND

A défaut de pouvoir compter sur une arme, Tim pourra compter sur son ouïe irréprochable. Lorsque votre adversaire sera non loin de vous, vous pourrez l’entendre utiliser son cutter, mais également entendre le son de ses pas. 

Dès lors que vous entendez chuchoter quelques mots : fuyez ! Cela annonce qu’il est tout près de vous.. Il vous faudra donc trouver la cachette idéale pour ne pas vous faire repérer, un casier fera amplement l’affaire. Parfois, le simple fait de se cacher derrière un meuble vous suffira. 

Pour le plus grand bonheur des chasseurs de succès, sachez que ces derniers ne vous poseront pas de réel problème. 3 succès pourront demander un peu plus de temps puisqu’il s’agit là de la collecte de documents.

Néanmoins, cela ne vous sauvera pas à tous les coups et il faudra bien faire face à votre adversaire. Lorsque cela arrivera il sera difficile d’en sortir vivant, mais tout n’est pas perdu ! Tim pourra se défendre à l’aide de son bras et en sortira très affaibli.  Une minime chance de vous en sortir et de sauver votre peau.

CONCLUSION

Bien loin des derniers jeux d’horreur en date, Home Sweet Home reste pour le moins sympathique et promet une bonne (petite) soirée, le tout avec un bon verre de soda et du pop corn.

Il ne faudra donc pas s’attendre à un jeu digne des premiers Resident Evil, malgré tout il vous apportera son petit lot de sursauts.

Pour ma part, j’ai fortement apprécié le jeu. J’ai particulièrement aimé l’ambiance qui y régnait, bien loin des jeux d’horreur classiques. Les musiques ainsi que le scénario étaient particulièrement réussis et innovants. Comme quoi, on  peut faire de grandes choses avec des petits moyens. Le gros point noir reste malgré tout de n’avoir pas pu mettre la main sur le second chapitre.

+ POINTS POSITIFS

  • Les bruitages ainsi que les fonds sonores qui instaurent une ambiance glauque.
  • Des jumps scares, presque prévisibles, mais efficaces
  • Des énigmes plutôt coriaces
  • Une fin particulièrement énigmatique
  • Inspiré par les croyances et mythologies de la Thaïlande

- POINTS NÉGATIFS

  • Durée de vie trop courte (4h au grand maximum)
  • Les points de contrôles, souvent éloignés 
  • Graphisme un peu vieillot
  • On attend toujours le second chapitre ! 
  • Un protagoniste peu sportif, sérieusement, tu peux pas courir plus vite ? 
  • Un poil élevé (19,99 euros) à prendre en promotion ! 

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