Un multi avec du plus
Si vous êtes joueurs sur Call of Duty, vous connaissez le principe du Multijoueur. Ici, on retrouve le même système avec 2 équipes de 6 joueurs à la différence que sur Crossfire X, il y a un mode “Spectre” dans le Laboratoire. Et aussi le mode “Nano” dans le Labo Babylone, c’est-à-dire que ce sont deux modes différents. Celui de “Spectre” comme son nom l’indique une équipe est invisible et l’autre doit les combattre pour ne pas les laisser poser le C4 sur les zones de destruction.En ce qui concerne “Nano” tout le monde est normal, mais l’un des joueurs se transforme en pseudo Venom pour attaquer tout le monde et les infecter et il faut attraper tout le monde pour remporter la manche. Ce qui rend le jeu plus intense, car si vous n’avez pas d’aide de vos coéquipiers, vous êtes dans l’embarras.

Une campagne sympathique
On commence le jeu directement sur le terrain et vous incarnez Hall, accompagné d’autres membres. Et clairement, ça commence sous le sifflement des balles ! Vous allez devoir vous sortir du pétrin pour rejoindre un nouveau terrain d’atterrissage, sauf que tout ne se passera pas comme il faut, vous allez être séparé de vos partenaires. Et même plus (mais chut !) Grâce à l’intervention d’un de vos alliés pour vous sauver la vie, vous allez prendre le commandement de l’équipe. Et vous allez devoir les délivrer de ce bourbier dans lequel vous êtes.
Malheureusement, lorsque vous allez réussir à atteindre la tour pour appeler à la rescousse un hélicoptère, pour vous sortir de tout ça, un ennemi vous attaquera. À ce moment-là, vous interprétez Randall, le sniper de l’équipe, et vous devrez mettre à profit vos talents pour sauver le commandant Hall qui se retrouve en mauvaise posture. De part drogué, mais aussi entouré d’ennemis et désarmé. C’est le moment de retenir son souffle et de tirer juste !



Prise en main du gameplay
Si la campagne ou les différents modes du Multijoueurs m’ont plu, il y a une chose à laquelle j’ai eu beaucoup de mal à me faire, c’est la précision. La sensibilité de celle-ci est vraiment très intense, ce qui peut en dérouter certains. Dès l’accueil, on aperçoit un curseur de souris alors que le test a été effectué sur la XBOX Séries X, ce qui est assez perturbant. On a l’impression d’avoir un système que l’on trouve sur PC alors qu’on est sur console.



J’avoue cela ne m’a pas personnellement plu, étant habitué aux manettes des autres plateformes, j’avais un peu perdu mes repères. En revanche, en termes de graphisme, on n’est pas au niveau de certains de ses concurrents de FPS, mais cela reste très clairement esthétique. Bien que la rigidité des déplacements et des sauts soient frustrants, surtout avec les nouvelles générations, cela n’empêche pas d’apprécier le jeu mais il vous faudra un petit temps d’adaptation.