Quintus and the Formidable Curse, développé par une seule personne répondant au nom de Orion Moon (Wreck Tangle Games), et édité aussi par Wreck Tangle Games, se veut être un jeu d’horreur et d’aventure.
Qu’en est-il réellement ?
Quintus ?
Quintus and the Formidable Curse est la suite directe de Quintus and the Absent Truth (par les mêmes éditeurs et développeurs).
On commence notre aventure devant un camion de déménagement. Nous nous appelons Alan Shaw, et notre première mission consistera à enlever quelques cartons du camion, pour les déposer dans les pièces auxquelles ils correspondent.



Et déjà rien que là, les « ennuis » commencent…
Pourquoi donc ? Car notre personnage bloque à chaque fois que nous ouvrons ou refermons une porte. Pour le débloquer, obligé d’appuyer sur la touche « start » de notre manette.
En effet, ça commence bien.
Bref, après avoir surmonté les bugs d’objectifs, etc.
On pourra enfin ouvrir une des boîtes, et c’est là que l’histoire commencera vraiment.



Notre protagoniste trouvera un livre de magie noire, ainsi que des objets comme sa souris préférée nommée Quintus, dans celle-ci.
De là, il procédera à un sort pour la rendre vivante, mais tout ne se passera pas comme prévu.
En effet, il (r)amènera à la vie d’autres choses moins sympathiques que sa souris, comme des mannequins qui voudront lui faire la peau.

Le reste de l’aventure consistera à trouver un moyen d’inverser le sort.
Les graphismes
Quintus and the Formidable Curse, bien que pauvre en décors et très sombre la majeure partie du temps, nous réservera quand même quelques belles surprises à ce niveau, comme pour la partie dans les bois.



Sinon, pour parler des graphismes à proprement parler, nous sommes ici sur une sorte de cell-shading, aux couleurs tantôt très monotones, tantôt très (trop) flashy et criardes, ce qui pourra poser problème pour certaines énigmes.



Le gameplay
Comme mentionné plus haut, nous sommes censés être sur une sorte de thriller d’horreur et d’aventure.
En effet, nous sommes bien sur un jeu d’aventure, rempli d’énigmes assez simples à résoudre.
Par contre, la dimension horreur, je la cherche toujours.


Oui, les ennemis pourraient sortir tout droit d’un film/jeu d’horreur, il y a de la magie noire, le jeu se passe souvent dans la pénombre, mais si c’est leurs seuls arguments pour dire que leur jeu est « d’horreur », il va falloir revoir la définition, car ici rien ne fait peur, rien ne dégoute ou autre.


Par contre, ce qui est atypique ici, c’est que nous allons jouer un duo humain (Alan) et souris (Quintus). Ce qui nous sera indispensable pour résoudre certaines énigmes.



Les armes ?
Et oui, nous aurons des armes pour nous aider dans notre aventure.
La première que nous trouverons sera une batte de baseball, mais nous la mettrons très vite de côté pour utiliser les « flingues » (avec balles presque illimitées).

Des flingues me dites-vous ?
Oui, enfin… C’est pas vraiment ça, ces armes seront des clones de notre petite Quintus… HAHA



Nous en aurons deux à notre disposition, la première qui tirera des sortes de décharges électriques (Pika Pika ?) qui s’appelle Primus, et la seconde qui sera notre fusil à pompe et lancera du feu qui s’appelle Tertius.
Un jeu en monde ouvert ?
Alors oui, et non.
Tout dépend comment vous définissez le terme monde ouvert.

En effet, les niveaux sont tous fait sous forme de couloirs, avec ou sans vagues d’ennemis.
Mais nous avons, entre presque tous les niveaux, des phases où nous pouvons nous balader à notre guise, en camion, dans la (assez grande) map du jeu.
Malheureusement, nous sommes obligés de suivre nos objectifs à la lettre et ne pouvons pas aller où nous le désirons, quand nous le désirons…

Bugs et autre bizarreries en pagailles





