TEST GAMING

Ghostrunner 2

DATE DE SORTIE
26/10/2023
TEST RÉALISÉ SUR
PC
ÉDITEUR
505 Games, Just For Games (éditions physiques)
DÉVELOPPEUR
One More Level
CLASSIFICATION
PEGI 18
GENRE(S)
Action, Aventure, Combat, FPS, Musique
PLATEFORME(S)
PC, PlayStation 5, Xbox Series
COMPATIBILITÉ STEAM DECK
Compatible
MODE(S)
Solo

Bien le coucou les gens ! 

Pour une fois je ne vais pas vous parler du Steam Next Fest. C’est fou, non ?
Bon, rassurez vous, dans mes prochains tests, je risque de vous en reparler. MOUHAHAHA

Mais bref, aujourd’hui je suis là pour vous parler de Ghostrunner 2, sorti le 26 octobre 2023 !

Previously in Ghostrunner

Déjà, si vous n’avez pas encore fait le premier, qu’attendez vous !!! 

Il est vraiment très cool, donc faites le ! Surtout que si vous êtes ici, c’est que les ambiances cyberpunk, et que les die & retry sont fait pour vous ?! Non ? 

Bon, en vrai, si vous avez la flemme, les polonais de One More Level ont pensé à vous avec un récapitulatif en animation. 

« Dans l’épisode précédent »

Ou même si vous l’avez fait, et que vous voulez vous rafraîchir la mémoire, ça fait très bien l’affaire !

Là, l’histoire se passe environ un an après la fin du premier jeu, nous incarnons toujours le Ghostrunner numéro 74 prénommé Jack (non, pas Bauer, ce n’est pas le même !), en vue à la première personne, et cette fois, on a enfin des jambes et des pieds ! YOUPI !!!

Un « Ghostrunner », c’est quoi ?

Un ninja cybernétique futuristique, capable de courir sur les murs, glisser, trancher des gens avec son Katana, dasher, etc.

Dans ce séquelle, toujours édité par 505 Games et développé par One More Level, on agit toujours (principalement) dans la Tour Dharma, une ville ravagée par la violence, la pauvreté et le chaos. Mais cette fois, suite à la mort du Maître des Clés (pas le même que dans Ghostbuster) un culte d’IA cyberninja très violent, appelé les Asura, veut façonner l’avenir des Hommes. 

Les Asura.

Nous allons tout faire pour l’en empêcher et (ré)instaurer l’ordre dans ce monde dystopique futuriste, grâce à nos amis du « Conseil de l’Interface » (les anciens « Grimpeurs”).

Nos amis du Conseil de l’Interface.

Une VF aurait était plus qu’appréciée

Honnêtement, même si l’écriture de l’histoire est un peu plus soignée que dans le premier épisode, que les personnages sont mieux écrits, c’est plus un prétexte qu’autre chose à défourailler du méchant, dans ce die & retry punitif et exigeant  ! 

Premièrement, je vais commencer par dire que le doublage, que ça soit de Jack, des Asura ou encore de Kira (la blagueuse), mais aussi des autres, sont assez bien interprétés

Mais si je dis ça, pour l’histoire, c’est parce que comme les voix ne sont qu’en VO (anglais), il est difficile de se concentrer à lire du texte tout en jouant. Car ici, ça va vite, même, très très vite

En l’occurrence, je pense que même s’il y avait eu une VF, j’aurai eu le même problème car je comprend bien l’anglais.
Mais quand bien même, au vu de l’action qui se veut non stop, c’est très compliqué de se concentrer à écouter et/ou lire les sous titres, tout en esquivant des balles, des lasers, essayer de ne pas mourir, ET tuer les ennemies qui nous les envoient.

Car ici, un peu à l’instar d’un Hotline Miami, un coup signifie une mort, que ce soit pour nous, comme pour nos opposants.

Die and retry et Cyberpunk

Mais ça reste, dans ce jeu, légèrement plus exigeant ; surtout parce qu’en plus des ennemies, on a aussi le monde en lui-même qui peut nous tuer à tout moment. 

Car c’est en plus, un jeu de « parkour » , et quand vous devez couplez les ennemies PLUS la dimension parkour, et bien ce n’est pas toujours simple… Haha

Niveaux plus vastes qu’avant

Parkour rime généralement avec rapidité, et ici ça va tellement vite que ça rend malheureusement certains niveaux peu lisibles, car pas toujours très bien agencés ou trop vastes pour ce type de jeu.

Car oui, ici les niveaux sont légèrement plus grands que dans le premier. Ce qui nous laisse peut être un peu plus de possibilité dans la manière d’aborder les choses. Mais on se voit parfois mourir sans trop savoir pourquoi, à cause de balles tirées dans le dos, d’ennemies que l’on avait pas vu.

Attendez-vous à mourir souvent… À cause… De BUGS !

En plus de ça, il est fréquent que notre Ghost ne fasse pas les actions qu’on lui demande, par exemple s’agripper avec notre grappin à un mur, pour ensuite courir dessus. Et bien non, il va décider qu’il n’allait pas courir, comme si on avait été freiné inopinément par un mur invisible.
Quand ça arrive, on tombe dans le vide et on finit souvent dans un coin reclus en bas du niveau, sans mourir…  Sauf qu’on ne peut pas remonter, et la seule chose à faire pour continuer, c’est justement de mourir.

Ou encore si on est en train de faire une glissade en pente, qu’on doit sauter au bout de cette dernière pour rattraper la plateforme suivante. Ici aussi, un stop pourra nous être mis. Un pixel « fou » va décider de nous bloquer À LA FIN de notre course, sauf que pour franchir cet obstacle, la vitesse et l’élan que celle-ci nous donnait était primordiale ! 

Et ce ne sont que de petits exemples

La frustration

Toutes ces TROP nombreuses morts injustes, dues a des bugs de collision, de hitbox mal calibrées, rendent le tout vraiment très frustrant

Alors oui, on est sur un die & retry, c’est un peu son but d’être « frustrant », sauf que lorsque ce n’est pas de notre faute, que nous mourrons, ça l’est d’autant plus !!!

Rapidité revue à la baisse ?

Et paradoxalement, je trouve le jeu moins rapide et donc légèrement moins fluide que son prédécesseur, c’était d’ailleurs assez déroutant au début de l’aventure.

De surcroît, pour ne pas aider, le jeu semble mal optimisé, j’ai eu de nombreux ralentissements ! Même dans le « Previously« , en animation, c’est pour dire…

(J’ai pourtant une configuration un peu plus puissante que la configuration requise, et je n’ai fait tourner le jeu qu’en ce qu’on va appeler : « qualité moyen plus ».)

Mais bref, dans tous les cas, quand ces morts « injustes » surviennent dans le nouveau mode rogue-like :

ROGUERUNNER.EXE

Pour jouer à ce mode, pas besoin de lancer l’aventure en elle-même, car il est disponible directement via le menu du jeu.

C’est encore plus frustrant, car oui, ils nous ont rajouté un de ces modes, qui est franchement très réussi. Pas assez procédurale à mon goût, car beaucoup de niveaux se ressemblent, mais il a le mérite d’être là.

Ici, on a le choix des niveaux. Ils sont disposés sous formes de puces informatiques semblables à des cartes, certains niveaux augmentent la difficulté, d’autres rajoutent des vies ou encore nous permettent d’avoir des améliorations.

Oui, vous avez bien lu, “rajoutent des vies”, nous commençons avec un total de 5 d’entre elles, voilà donc pourquoi ces morts sont d’autant plus frustrantes dans ce mode de jeu.

Dans tous les cas, dans ce roguerunner, on alterne entre niveaux parkour, et niveaux arènes avec un certain nombre d’ennemies à trucider.

Chaque niveau de difficulté (il y en a quatre, se débloquant au fur et à mesure de l’aventure principale) se finit par un plus gros level d’arène, avec plus d’ennemis à tuer, et nous offre chacun une récompense différente.

Mode optionnel

En tout cas, rassurez-vous, si ce mode ne vous donne pas envie, ou est trop dur pour vous, il est complètement optionnel ! On y gagne bien des récompenses, mais elles sont purement cosmétiques, donc pas utiles pour le déroulement de l’aventure.

Le HUB trop présent

Notre QG.

La première fois qu’on en prend connaissance, c’est via le HUB, le quartier général du Conseil de l’Interface (grâce à Kira), qu’on ira visiter après (presque) chaque mission.

C’est sympa une fois, on peut y aller taper un brin de causette avec nos 4/5 copains, acheter des améliorations via un ordinateur, admirer les collectibles ou autres sabres que l’on a récupéré, mais il ne sert vraiment pas à grand chose, et dessert même le rythme de l’aventure, tellement il est sous exploité et ennuyeux

Je pense par exemple au 3 bornes d’arcade « Killer Priest« , qui font croire qu’on va pouvoir jouer à un mini jeu en plus, or ce n’est pas le cas, elles sont simplement là pour la déco !

Les fameuses bornes d’arcade. / Oui, un mode photo est disponible, mais impossible d’enlever l’UI…

Améliorations

En parlant d’améliorations, contrairement à celles de l’ancien opus, qui étaient faites en une sorte de Tetris ; ici, c’est mis en place sur une « carte mère » (vu que nous sommes tout cybernétique, c’est raccord) dont on pourra améliorer le nombre d’emplacements, en collectionnant un certains types d’items violets appelés éclats de mémoire.

Voici à quoi ressemble un éclat de mémoire.


Et si comme moi, vous êtes un complétiste acharné, votre CM va être au max bien avant la fin de votre périple, voir même vers le milieu de l’aventure, alors qu’il en restera encore un bon paquet à trouver et à récupérer. Malheureusement, pour rien, du coup.

Season Pass

Heureusement, un season pass est déjà dévoilé, avec des sorties allant jusqu’à octobre 2024
J’espère que ce ne seront pas que des ajouts cosmétiques, et qu’on pourra s’en servir dans ces DLC. Même si au vu de leur noms, j’ai un peu peur…

Shurikens, parade et carte mère

En plus de la carte mère à améliorer, on a les améliorations de capacités (à placer sur la carte), à acheter via l’ordinateur du HUB. 

Elles sont au nombre de 48, réparties sur 8 catégories définies, et sachant que le nombre de places sur cette carte mère est de 20, je vous laisse imaginer le nombre de possibilités.

Normalement, une colonne est égale à une catégorie définie, mais avec une certaine amélioration, on aura même plus à se soucier de cela.

On peut d’ailleurs en changer la disposition comme bon nous semble, via le menu pause du jeu.

Les capacités en question sont des pouvoirs qu’on récupérera au fil du jeu : shurikens, « ombre » ou encore « tempête« , mais aussi le blocage, qui permet de dévier les projectiles ennemis, qui est une nouveauté fortement appréciable de cet opus.

Cette dernière s’utilise via une barre de stamina (la même qui nous sert pour dasher), donc lorsqu’on est à court, c’est presque la mort assurée. Heureusement, elle se recharge assez vite après s’être vidée.

Mais on aura aussi un wingsuit, le grappin (déjà présent dans le 1), la possibilité de contrer, ce qui nous montrera une belle exécution, ralentir le temps dans les airs, etc, etc.

On va aussi débloquer 5 pouvoirs « ultimes« , tous plus destructeurs et utiles les uns que les autres, au fur et à mesure du jeu.

« Flux » est le premier Ultime que nous obtenons.

Des pouvoirs sous exploités

Par contre, certains de ces pouvoirs ne sont vraiment pas assez exploités.
Je pense notamment à « ombre » qui nous permet, entre autres, de devenir invisible. On n’est certes pas là pour ça, on n’est pas sur un jeu d’infiltration. Mais on aurait aimé avoir à s’en servir plus ! 

Pareil pour un certain attribut des shurikens qu’on utilise que lorsqu’on l’obtient, aussi un peu dans le dernier niveau, mais c’est tout… 

Ce nouvel opus se termine quand même en 18 stages… Donc 2/3 niveaux sur tout ça, surtout que si on ne l’utilise pas, ce n’est pas parce qu’il est « useless« , à l’instar de ombre, mais parce qu’on ne peut pas ailleurs. Ça fait clairement pas beaucoup !

Heureusement, « Tempête » réserve de belles surprises… 😉

Bhèp bhèp moto !!

Autre nouveauté, on a des passages non plus à pied, mais aussi… À moto !!!

Et ici aussi, on va avoir à faire des cabrioles, si on veut survivre durant ces phases.

Elles sont généralement réussies, et encore plus exigeantes qu’à pied, car cette fois, l’impression de vitesse est clairement au rendez-vous. Ça va à 100 à l’heure, à fond la caisse, et encore plus avec la nitro.

Et le moindre choc vous fera périr sur le coup. Vous risquez de beaucoup rouspéter contre le jeu à cause des nombreux obstacles qu’on ne voit, que trop souvent, à la dernière seconde.

Mention spéciale pour les parties dans les tunnels, qui donnent vraiment le tournis, et qui ne sont clairement pas là pour nous rassurer… HAHA

La moto, une bonne idée ?

Effectivement, je ne dis réussi que « généralement« , car la caméra est parfois désespérante.

Et quand on doit se propulser sur les murs, pour rouler dessus verticalement, et qu’on ne sait pas où on atterrit, à cause de cette caméra, c’est vraiment pas glop.
Surtout que si on s’arrête, quand on roule sur les murs, c’est la mort assurée

L’impossibilité de freiner m’a aussi beaucoup manqué et j’aurai vraiment aimé pouvoir faire de beaux dérapages contrôlés (ou pas). Car avec la belle sensation de vitesse que cette moto arrive à nous offrir, ça ne pourrait qu’être très saisissant et satisfaisant !

Par pitié, arrêtez avec vos « open world » !

Autre nouveauté couplée à la moto, un monde semi ouvert (fermé par des murs invisibles), post-apocalyptique, qui fait beaucoup penser à un mélange de Mad Max, de Rage, avec une touche de Borderlands .

Ici, je suis bloqué devant un mur invisible… (Oui, notre pseudo est visible sur un bracelet)

Et cette fois, j’ai trouvé que cette phase n’était pas très bien amenée, certes, on peut se mouvoir encore plus facilement en moto (mais aussi à pieds), mais ça ne fait pas tout.

« On peut par exemple s’amuser à en sauter, puis revenir en scelle en plein vol, grâce à notre grappin »

Les contrôles au combo clavier/souris, de la moto, sont atroces. Le monde est assez mal fait, on se perd facilement en essayant d’aller vers les objectifs, sans arriver à les trouver, malgré les indications visuelles à l’écran.

Après avoir été habitué à des niveaux assez dirigistes, c’est perturbant, de plus ça casse nettement le rythme, sachant que juste après on retourne dans ces mêmes niveaux plus dirigistes…

Réparez moi ça !

Par ailleurs, durant cette phase, la bécane… Mais alors quelle plaie… On rencontre bug sur bug, elle ne fait que se coincer dans les différents éléments de décor que composent ce monde, et c’est très TRÈS fatiguant.

Surtout que nous n’avons pas la possibilité de la débloquer via une option dans le menu (par exemple).

Donc pour arriver à la débloquer, on doit : soit mourir, soit recommencer au dernier point de sauvegarde. 

Serait-ce des sables mouvants ? Spoiler… Non !

De la « compétition » entre amis

Je suis un PGM

Mais sachant que les niveaux sont scorés, et nous mettent en compétition avec nos amis, le fait de devoir mourir pour cela, laisse un léger goût amer… (ce qui n’est pas propre à ces phases, mais je me devais de le souligner). 

Par contre, si cette dernière tombe dans le vide alors que nous ne sommes pas dessus, dans ce cas là, elle réapparaît judicieusement. Par contre, pas forcément proche de nous…

De belles nouveautés

Heureusement, il n’y a pas tout à jeter durant ces phases, qui nous dévoilent de nouveaux adversaires semblables à des zombies

Mais aussi et surtout l’une des phases les plus spectaculaires du titre (à mon sens) avec un vers des sables.
Mais je vous laisse la joie de découvrir ce passage par vous même.

Le bestiaire est par ailleurs un peu plus varié que dans l’épisode précédent, pour notre plus grand plaisir.

Ninja aussi agiles que nous, soldats à pistolets ou mitrailleuses, gros vilains à marteau électrique, robots lanceurs des lasers, soldat volant avec missiles, « mono roue » nous fonçant dessus et autre vers cracheurs d’acide… Ils ont tous leurs caractéristiques spéciales, qu’on va devoir assimiler pour en venir à bout le plus facilement possible.

Bornes de défis

Ici, nous sommes sur une course

Autre ajout assez plaisant, des défis, trouvables dans les différents niveaux du jeu, qu’on « active » via des bornes de terminaux. 

Ici aussi, un peu comme dans roguerunner.exe, les niveaux sont soit des « arènes » avec des rivaux à buter, soit des niveaux parkour, qui cette fois sont fait sous forme de courses contre la montre. Et comme vous vous en doutez, les « morts bugs » sévissent aussi ici, et c’est encore une fois très décourageant

En tout cas, si vous arrivez à finir le challenge dans le temps imparti, vous pourrez repartir avec des médailles allant de bronze à or. Fort heureusement, les challenges sont assez simples à finir en or, mais pour cela, il faut arriver à ne pas tomber sur le genre de bugs dont j’ai parlé auparavant.

B.O. synthwave somptueuse !

Quant à elle, la musique est une fois de plus aux petits oignons

Encore une fois, comme pour Hotline Miami, on est sur une B.O. synthwave/electro de grande qualité, qui colle parfaitement avec l’ambiance cyberpunk du titre  ! 

Rien que la première fois où j’ai lancé le jeu et que je suis tombé sur le menu, je me suis dis : « AH OUI QUAND MÊME ! Si c’est comme ça durant tout le jeu, mes oreilles vont être comblées.
Et ça a clairement été le cas !

Vivement un beau vinyle de cette B.O. !

CONCLUSION

Comme vous pouvez le voir, mon avis est très mitigé pour ce jeu Fast FPS / Die & Retry / Parkour, que j’attendais impatiemment, après avoir autant apprécié son prédécesseur.

 

Le jeu ne révolutionne pas par ses graphismes, frustre plus qu’autre chose, et pas dans le bon sens.
Ê
tre frustré de mourir par ma faute, c’est une chose, mais être frustré à cause de nombreux bugs, qui ne sont pas de mon ressort. C‘en est une autre. 

One More Level nous rajoutent trop de nouveaux contenus qui dénaturent et cassent le rythme effréné tant apprécié qu’avait précédemment Ghostrunner.
E
t je n’en ai pas parlé, mais les boss sont ici moins mémorables (la faute au passages dans le Cybervoid, qui casse, encore une fois le rythme d’une bonne partie des boss fight)

Mais fort heureusement tout n’est pas à jeter, bien au contraire.
J’
ai quand même pris mon pied à finir ce nouvel opus.
J’ai mis environ 15 heures ; en prenant mon temps ; pour en voir le bout (bon, on pourrait enlever bien 2 heures à cause des « morts bugs », oui oui, autant que ça…)

La BO est encore une fois splendide, certains passages sont quand même mémorables et sortent du lot grâce à une mise en scène mieux travaillée que dans Ghostrunner premier du nom.

Certains ajouts font quand même bien plaisir, comme les pouvoirs ultimes bien utiles, et la possibilité de contrer les coups.

Mais surtout le plaisir de rejouer Jack et de refouler la Dharma Tower pleine de néons, est belle est bien là !
Et c’est bien ça le principal !

+ POINTS POSITIFS

  • On a des pieds ET des jambes
  • La BO synthwave splendide
  • Bonne durée de vie
  • Retrouver Jack et son gameplay vif et exigeant
  • Les adversaires plus variés
  • La carte mère personnalisable avec ses nombreuses améliorations
  • La possibilité de jouer sous Direct X11 ou 12

- POINTS NÉGATIFS

  • Les nombreux bugs…
  • …et donc les morts injustes
  • Arrêtez de vouloir nous mettre des mondes ouverts partout
  • Moins rapide, moins fluide que le premier
  • Optimisation à revoir
  • Chargements assez lents
  • On aurait aimé pouvoir plus démembrer les ennemis avec le Katana, un peu comme dans Soldier Of Fortune #Sadique

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