Pirates VR: Jolly Roger est un jeu d’action/aventure en réalité virtuelle développé par Split Light Studio et édité par VRKiwi.
Pirates des Caraïbes VR ?
« Embarquez pour une expédition virtuelle palpitante avec Pirates VR: Jolly Roger, où les légendes d’îles maudites et de trésors perdus prennent vie ! Échoué sur une île isolée des Caraïbes, vous découvrirez de sombres secrets, affronterez des pirates morts-vivants et explorerez des environnements traîtres, guidé par un fidèle mais sarcastique compagnon : le perroquet. »
Voilà pour les grandes lignes de l’histoire.
Dans ce jeu, vous incarnez un pirate aventurier en quête du légendaire trésor de Davy Jones, sur une île maudite des Caraïbes. Vous serez accompagné de votre fidèle Rango : un perroquet qui vous suivra tout au long de votre périple.



Rango le perroquet, un allié pas si fidèle ?
Rango ne se contente pas de vous accompagner. En plus de ses répliques sarcastiques, il vous aidera à trouver votre chemin dans l’aventure. Ainsi qu’à résoudre les quelques énigmes du jeu.
Cependant, si ses remarques font sourire au début, leur répétitivité et son ton moqueur finissent par devenir rapidement agaçants.
De plus notre ami Rango parle trop. Beaucoup trop.
À tel point que certains joueurs pourraient envisager de s’en débarrasser… Mais cela ne sera pas sans conséquences…



On escalade, on tire, on tue…
Pour ce qui est du gameplay de ce Pirates VR: Jolly Roger, comme dit plus haut, nous sommes sur un jeu d’action/aventure, mais contrairement à ce que nous dit la page magasin du jeu, celui-ci n’est pas du tout un monde ouvert.
« Explorez le monde ouvert impressionnant d’une île des Caraïbes, rempli de butin et de secrets qui n’attendent que d’être découverts. »
En réalité, c’est même le contraire. Il s’agit d’un jeu en couloir, extrêmement scripté. Même la première zone, qui semble semi-ouverte, reste jonchée de murs invisibles.
Côté déplacements, l’absence de mode « téléportation » est regrettable, surtout pour les joueurs sensibles à la cinétose (motion sickness).



Par ailleurs, nous aurons aussi à faire de l’escalade. Heureusement pour nous, les endroits où cela sera possible sont marqués par des prises bien visibles.
Dommage que cette escalade ne soit pas toujours très précise, nous faisant souvent tomber injustement.
Enfin, nous aurons aussi à résoudre différentes énigmes, tuer des squelettes pirates morts-vivants et éviter de nombreux pièges mortels.



Les soucis liés à la VR
Malheureusement, comme tout bon jeu en réalité virtuelle qui se respecte, des problèmes liés à cela s’inviteront durant nos parties. Et ici, ils seront légion…



En pagaille :
- Système pour attraper les objets lointains qui fonctionne une fois sur 4.
- Système pour mettre les objets attrapés dans notre inventaire qui bug énormément (avec le Valve Index en tout cas).
- Obligation de « réinitialiser » la position dans le menu à chaque lancement du jeu.
- Les objets au holster (à la ceinture) qui buguent et ne se positionnent pas correctement (et impossibles à corriger à moins de relancer la partie).
- Ouvrir des coffres à trésors n’a jamais été autant un challenge.




