Synopsis
Saga of Sins est un jeu d’action-aventure expiatoire avec un scénario mystique et un gameplay arcade gratifiant ! Plongez dans un monde de vitraux imprégné par le péché, et venez à bout des sept péchés capitaux.
On incarne Cecil, un clerc revenu de croisade car le maître Ulric de la chapelle de Sinwell l’a rappelé afin d’éradiquer la peste et de soigner le village de ce fléau. Ulric nous explique que pour sauver le village, nous devons libérer les habitants de leurs péchés ce qui permettra donc d’éradiquer la peste.
Dans l’impossibilité de leur demander de se confesser ou de se repentir car Sinwell est trop gravement atteinte et les méthodes conventionnelles ne suffiront pas, il nous faudra alors réparer les vitraux de la chapelle afin de débloquer les pouvoirs de se transformer en créatures démoniaques.
Ces pouvoirs nous permettront de vaincre les démons ayant leur emprise sur les habitants. Il faudra alors entrer dans leurs esprits afin d’en extraire un des 7 péchés capitaux.
Les pouvoirs des vitraux
Le loup-garou est le premier vitrail reconstitué. Son attaque est de tirer 3 projectiles qui offrent une longue portée et peuvent s’enchaîner avec rapidité. Il peut aussi comme toutes les créatures démoniaques effectuer des doubles-sauts.
Le deuxième vitrail réparé est la gargouille. Son haleine de feu dévastatrice possède une faible portée mais est très efficace contre les ennemis volants.
Le troisième vitrail débloqué est le griffon. Il balance également 3 tirs qui offrent une grande portée. Et il peut également grimper sur certains murs.
On alterne entre chaque créature quand on le souhaite.
Les 7 péchés capitaux
On commence l’aventure en affrontant la gourmandise. Lors d’une soirée arrosée, les habitants ont abusé de la réserve de vin de messe et ont basculé dans le mal. Il faudra alors entrer dans leur esprit afin de vaincre ce péché.
La gourmandise est caractérisée par un goût immodéré pour la nourriture, la boisson ou la richesse. Tout est consommé excessivement et gaspillé.
La paresse se caractérise par une absence de vitalité ainsi qu’un manquement à ses devoirs et responsabilités.
L’avarice se caractérise par une attirance envers les possessions matérielles et le désir d’accumuler de l’argent.
L’envie se caractérise par la convoitise de caractère ou de possession d’autrui.
La luxure se caractérise par un désir intense et débridé de satisfaction auquel s’ajoutent des pensées impures.
La colère se caractérise par un sentiment incontrôlable de rage et de haine souvent associé à un désir de vengeance.
L’orgueil se caractérise par la croyance irrationnelle de sa propre supériorité aux autres.
Arbre de compétences dans Saga of Sins
Dans le jeu nous avons un arbre de compétences qui permet d’améliorer nos capacités. Il faut faire un don d’or à la statue de la Madone pour recevoir ces améliorations. On peut augmenter les tirs du loup-garou, du griffon et la distance de tir de la gargouille. Mais on peut également augmenter nos sauts et nos vies.
Les niveaux des pêcheurs
Une fois entrés dans les esprits des pêcheurs, il nous faudra combattre des démons afin d’accéder au péché capital. En battant les démons ceux-ci font tomber des pièces. Ces pièces servent à acheter de nouvelles capacités ou à améliorer celles que l’on possède déjà. On trouve également des coffres dans tous les niveaux. A la fin de ces niveaux, on récupère les fruits défendus et il ne restera qu’à combattre des boss. C’est en récupérant ces fruits défendus qu’on pourra empêcher le diable de corrompre encore plus Sinwell.
Chaque péché capital aura 3 niveaux : niveau 1, 2 et le boss. Ce qui fait un total de 21 niveaux. A la fin on aura la possibilité de refaire les niveaux pour récupérer les coffres non découverts mais aussi de récupérer encore des fruits pour sauver les âmes des défunts.
Les graphismes
Saga of Sins se déroule dans une époque médiévale sur le thème des 7 péchés capitaux mais également de la religion. Sa direction artistique se distingue des autres jeux notamment car son graphisme est inspiré par l’art du vitrail et des peintures médiévales de Hieronymus Bosh, un peintre hollandais né vers 1450 et mort en 1516.
